J’étais là

desfile de las distintas regiones del país

Je vais commencer par expliquer que je pense qu’un blog doit être souple, dynamique, court, immédiate, et par conséquent presque liquide.
Je crois que toutes les communications doit être responsable, réfléchi, fort de durer et de l’étendre et qui participe au débat croissance (Comment je souhaite que d’autres sont rattrapées en elle!). Cela ne signifie pas être ennuyeux et lourds et je m’excuse à l’avance si je ne peux pas connaître les un peu, mais qui sera sûrement le manque de sympathie qui peut verrouiller mon caracteres

et pour commencer…

Après avoir passé quelques jours de célébrations pour le bicentenaire, l’excitation continue, mais j’avais besoin de temps pour la réflexion
J’ai été l’un des 8 millions qui ont voyagé à travers ce qu’on a appelé la «Rue du Bicentenaire”, Mais aussi par notre Plaza de Mayo et les rues et avenues entre Callao et de la Plaza et entre Corrientes et l’indépendance ont également été plein de gens se déplacent d’un endroit à l’autre de vivre cette fête
Je me sentais comme un petit grain, mais importante

…. Le sable est d’une poignée
Mais il ya des montagnes de sable
(Atahualpa Yupanqui – El payador perseguido)

Il est difficile de faire comprendre ce que c’est que tant de voix pour chanter ensemble l’hymne ou la Mars de San Lorenzo, mais aussi Joyeux anniversaire, mais c’était comme de chanter pour eux ou pour eux-mêmes. Nous avons célébré. C’était notre anniversaire

Et les gens envie de chanter avec Los Olimareños des chansons comme “Milonga del shot» et «Gallo noir, coq rouge”.
Bien sûr, nous chantons aussi avec Soledad Pastorutti et Fito Paez et Susana Rinaldi et d’autres artistes. Mais mettre en évidence ces deux chansons pour ce qu’elles signifient et parce que depuis longtemps, depuis je les ai écoutés. Il était très jeune que le chant Eduardo Aliverti Je vais aussi melanco années soixante-dix, mais quelque chose de retour.

J’ai passé quatre jours (J’ai seulement perdu 1) et il était toujours le même climat: PARTICIPER. Et bien vous pouvez faire plusieurs lectures, je reçois le texte suivant:

• La participation a été heureux, mais pas du tout naïf et inoffensif. Il y avait des pensées diverses et d’échanger des vues et des discussions politiques (J’ai été témoin de quelques-uns) Mais dans le sens de l’échange de vues et de pensées et ne se battent pas.
• Rien ne change pour des vacances … ou oui. Je pense que pour beaucoup, il a été un point tournant pour repenser les idées, les visions, les positions
• Qui a déjà organisé une réunion de plus de 10 personnes connaissent l’effort et le travail que cela voulait dire l’organisation de ces fêtes avec la participation de milliers d’artistes et d’imaginer l’excitation d’entre eux à cette taille de l’auditoire à applaudir et à participer (Ernesto et j’ai eu l’occasion de mettre 200.000 personnes-10% – et cela me permet de reconnaître l’émotion des artistes). Chapeau à tous ceux qui d’une manière ou d’une autre impliqués dans cette organisation
• Parades, et en particulier la fermeture par Fuerza bruta , étaient choquantes (Je n’ai pas ce qui s’est passé aux projections et d’événements sur la Plaza de Mayo et de Teatro Colón – ne peut pas être à tous) Mais je vais mettre le fil de leur tout ce que je pense que c’était la bonne chose:

1. est honoré et célébré les gens d’hier et d’aujourd’hui
2. soit réévalué les peuples autochtones, les immigrants européens mais aussi d’autres parties du monde, principalement latino-américains
3. revient sur la vision de l’unité latino-américaine
4. l’intégration est rendue visible nationalités non seulement, mais de différentes religions et les manifestations du genre comme l’inclusion du groupe représentait un peu homosexuels dans la parade »de l’intégration. Mais aussi parce qu’ils ne pouvaient participer aux festivités qui ne font jamais que des gens qui sont dans la rue et ils ont bien évidemment affiché par ceux qui veulent voir
5. Les passages choisis historique nous a parlé de la participation et l’action du peuple, le sacrifice et la douleur d’une telle participation Mais aussi de la mémoire, l’espoir, la créativité et de joie. Je pense que tous les révolutionnaires et progressistes est sérieusement optimiste, joyeux, chanter, danser et est heureusement responsables des décisions et des actions qu’ils effectuent
6. Je me réjouis de toutes les scènes, mais je vais rester avec celui qui n’a pas reçu d’autres commentaires: l’avant-dernière, la salle de classe, les enfants, la génération qui donneront vie aux grands-parents de la génération du tricentenaire (j’ai dépassé beaucoup … Je ne pense pas). Les références dans les médias parlaient de ballon, mais je vis comme un œuf qui donne la vie aux animaux et les humains (Certains oeufs externes, comme les poulets et les oeufs d’autres domestiques et autres internes comme celle de l’homme ou zygote) et dans ce cadre, avec les enfants, les enseignants et les chercheurs dans leurs tâches, une phrase qui est activé et désactivé en permanence et le plus regardé, lu et applaudi:

«Nous avons pu, nous pouvons”

Je sais que ce ne sont que des gestes et doivent être transformées en actions, une tâche qui nous appartient à tous de le rôle de chacun
Pour paraphraser ce que j’ai lu et je suis redevable à l’auteur car il n’est pas qui il est:

“Regardez vos pensées, car ils deviennent des gestes;
Surveillez vos gestes, car ils deviennent des mots;
Regardez vos mots car ils deviennent des actions;
Regardez vos actions, car ils deviennent des habitudes;
Regardez vos habitudes, car elles sont transformées en pensées et de l’idéologie ”
Cercle Fermé

Ce qui est écrit à titre personnel; Ernesto est conforme à certaines choses, mais c’est lui qui déclare son match et l’ampleur de celui-ci

Pour le moment, de continuer à célébrer le 200e anniversaire mérite de remplir regardant le verre que nous avons en main et pas de lacunes dans la piscine

Salud!

PS: Il est intéressant de lire “Le jour de la Rosette» – Eduardo Aliverti – Page 12 – 31/05/2010
Notez delle sémiologue Raul Barrientos – Page 12 à 27 ou 26/05/2010
Lettre et ceux de Fito Paez.


Balvanera

mapa de Balvanera - Ciudad de Buenos Aires

Possiamo iniziare la sua storia nel 1799, quando Fray Damián Pérez, francescano, ha ricevuto una donaciones di terreni in cui il tempo più tardi costruì una cappella dedicata a Nostra Signora di Balvanera. Per lungo tempo, la cappella fornito alle necessità spirituali dei pochi residenti locali. Il 1 ° aprile 1831, il vescovo Mariano Medrano y Cabrera proceduto ad erigere la parrocchia di Nostra Signora di Balvanera, riconoscendo così l’importanza crescente Della zona. Cinque anni dopo la parrocchia aveva 3.635 abitanti. E nell’ambito degli attuali limiti del tradizionale quartiere la Piazza Miserere, il cui nome si riferisce al soprannome con cuale era conosciuto Don Antonio Gonzalez Varela, proprietario del terreno durante il XVIII secolo
La piazza è stata una tappa importante durante l’invasione britannica e da lì don Santiago de Liniers convocato la resa del generale William Carr Beresford.
Fonte: CEDOM


el choclo (tango)

Secondo il racconto di Roberto Selles, questo tango da Angel Villoldo è stato rilasciato nel raffinato ristorante “The American” nel 1903, che si trovava in Cangallo (ora Juan Domingo Peron) 966. L’orchestra che l’ho giocato per la prima volta è stata quella di José Luis Roncallo, e questa musica divenne nota come “danza creola”, perché il tango era una cattiva reputazione in tale ambiente
Non si sa quando è stata data, ma alcune versioni parlano dell ‘anno 1898.
Per quanto riguarda il nome, Villoldo Irene (sorella del compositore) aveva detto il cantante Juan Carlos Marambio Catan che Choclo “era il soprannome di un personaggio, malevo e fioca che erano accampati nei dintorni di Lavalle y Junín e di cui il colore dei suoi capelli”.
Villoldo ha scritto due lettere, ma nessuno di loro apparve nella partitura pubblicata nel 1905
Negli anni ’30 ha adattato Marambio Catan un’altra lettera che è stata cantata da Angel Vargas
Nel 1947 Enrique Santos Discépolo scrive la strofa finale.
Con questa nuova lettera è stata rilasciata da Libertad Lamarque nel film messicano “Gran Casinò” diretto da Luis Buñuel
Uno dei più noti è la versione cantata da Tita Merello


Sono stato lì…..

parte del desfile en la que se celebrava el tango

Inizierò spiegando che so che un blog dovrebbe essere flessibile, dinamica, breve, immediata, e di conseguenza quasi liquido.
Credo che tutta la comunicazione deve essere responsabile, riflessiva, forte per sopportare ed espandere e far crescere lo che partecipa al dibattito (come vorrei che alcuni sono catturati in esso!). Questo non vuol dire essere noioso o pesante e mi scuso in anticipo se non posso divertire un po ‘, ma che sarà sicuramente la mancanza di simpatia grande che può bloccare la mia personalita.

E ACA VOY …

Dopo aver trascorso alcuni giorni di celebrazioni per il bicentenario, l’eccitazione continua, ma avevo bisogno di tempo per la riflessione
Sono stato uno degli 8 milioni che viaggiava attraverso quella che fu chiamata la “Strada dall Bicentenario” , ma anche per la nostra Plaza de Mayo e le strade e viali tra Callao e Plaza de Mayo, e tra Corrientes e Independencia erano piene di persone che si spostano da un un luogo all’altro a vivere questa festa.
Mi sentivo come un granello piccolo, ma importante.

… La sabbia è un pugno
Ma ci sono montagne di sabbia
(Atahualpa Yupanqui – El payador perseguido)

E ‘difficile esprimere cosa si prova tante voci insieme a cantare l’inno o la Marcia di San Lorenzo, ma anche il buon compleanno è stato come a cantare per loro o per loro stessi. Stavamo festeggiando. E ‘stato il nostro compleanno

E a sentire persone che cantano le parti di canzoni che ha cantato Il Olimareños come “Milonga del tiro” e “Gallo nero, gallo rosso”.
Naturalmente anche cantiamo con Soledad Pastorutti e Fito Paez e Susana Rinaldi e altri artisti. Ma l’accento su questi due temi é perché hanno un grande significato e perché da tempo non ho sentito. Erano persone molto giovani che cantavano queste canzoni e, sono d’accordo con Eduardo Aliverti, anch’io sarò una persona triste degli anni Settanta ma qualche cosa ha tornato….

Sono stato 4 giorni (perso solo 1) ed è stato sempre lo stesso clima: PARTECIPARE.
E anche se si può fare più letture, scelgo la seguente:
• La partecipazione è stata felice, ma in nessun modo ingenuo e innocuo. Ci sono stati vari pensieri e anche scambio di opinioni e dibattiti politici (Sono stato testimone di alcuni) ma nel senso di scambio di opinioni e pensieri e non di combattimento.
• Nulla cambia per alcune festività…o sí. Credo che per molti è stato un punto di svolta per ripensare le idee, visioni, posizioni
• Chi ha organizzato un incontro per più di 10 persone sa lo sforzo e il lavoro che intende organizzare queste feste con la partecipazione di migliaia di artisti e immagino l’emozione di loro fino al punto di pubblico e partecipanti vivándolos (Ernesto e io abbiamo avuto l’opportunità di esibirsi davanti a un pubblico di circa 200.000 persone -10% – e questo mi permette la mia hipótesis). Mi punta il mio cappello a tutti coloro che in un modo o nell’altro coinvolti in questa organizzazione
• Sfilate, e soprattutto la chiusura da parte del grupo Fuerza Bruta, sono stati scioccanti (ho perso quello che è successo alle proiezioni e gli eventi in Plaza de Mayo e Teatro Colón – non si può essere presente ovunque) ma io salvare il filo di tutti loro che penso fosse la cosa giusta:

 Si è onorato e celebrato uomini di ieri e di oggi.
 Si ha rivalutato le popolazioni indigene, gli immigrati europei, ma anche altre parti del mondo, soprattutto latino-americani
 si ha restituito la visione di unità latinoamericana
l’integrazione è resa visibile: non solo la nazionalità, ma di diverse religioni e manifestazioni di genere e l’inclusione del gruppo che rappresentavano gli omosessuali nella “Sfilata di integrazione. Ma anche perché potevano partecipare alla festa che non ha mai fare come la gente che sono per la strada e che erano ovviamente visualizzati da coloro che vogliono vederli.
I brani storico scelti ci ha detto circa la partecipazione e l’azione del popolo, il sacrificio e il dolere di tale partecipazione, ma anche della memoria, della speranza, la creatività e la gioia. Penso che tutti i rivoluzionari e progressisti è seriamente ottimista, allegra, cantare, ballare ed è felicemente responsabile per le decisioni e le azioni che assume
 Accolgo con favore tutte le scene ma ho intenzione di stare con uno che non ha ricevuto ulteriore commento: il penultimo, l’aula, i bambini, la generazione che darà vita ai nonni della generazione del tricentenario (Ho superato un sacco … non credo). I riferimenti nei media stava parlando di un pallone, ma ho visto come un uovo che dà vita agli animali ed esseri umani (alcune uova esterni come i polli e altri interni o zigote come gli umani) E in essa, insieme con i bambini, insegnanti e ricercatori nei loro compiti, una frase che si accende e si spegne continuamente e più visto, letto e applaudito:

“Siamo stati in grado, si può”

So che queste sono solo gesti e devono essere trasformati in azioni, un compito che appartiene a tutti noi dal ruolo di ciascuno gioca.
Per parafrasare una cosa una volta ho letto e sono in debito con l’autore, perché non è quello che è:

“Guarda i tuoi pensieri perché diventano gesti;
Guarda i tuoi gesti, perché diventano parole;
Guarda le tue parole diventano per azioni;
Guarda le vostre azioni perché diventano abitudini;
Guarda le tue abitudini, perché si trasformano in pensieri e ideologia ”
Circulo chiuso.

Questo è scritto a titolo personale, conozco che Ernesto coincide con alcune cose, ma sará lui che dichiara la sua partita e la grandezza della stessa

Per il momento, di continuare a celebrare il 200 ° anniversario meritato, guardando il bicchiere pieno che abbiamo nelle mani e non i bicchieri vuoti nel lavandino

¡SALUD!

ps merita di leggere: “Il giorno della Rosetta” – Eduardo Aliverti – Pagina 12 – 31/05/2010
articolo dal semiologo Raul Barrientos – Pagina 12 a 2010/05/26
Lettera e quelle di Fito Paez.


Balvanera

 

Monumento a Carlos Gardel

 Junín y Lavalle, calles de Buenos Aires por dónde caminaba el personaje”El Choclo” que da nombre al tango, pertenecen al barrio de Balvanera

Historia:
Podemos iniciar su historia en 1799, cuando fray Damián Pérez, religioso franciscano, recibió en donación un terreno en el que tiempo más tarde se levantó una capilla dedicada a Nuestra Señora de Balvanera. Durante mucho tiempo, esta capilla proveyó a las necesidades espirituales de los escasos vecinos del lugar. El 1º de abril de 1831, monseñor Mariano Medrano y Cabrera procedió a erigir la Parroquia de Nuestra Señora de Balvanera, con lo cual se reconocía la importancia que iba cobrando la zona. Cinco años después la Parroquia contaba con 3.635 vecinos. Se encuentra dentro de los actuales límites de este barrio la tradicional plaza de Miserere, cuya denominación alude al apodo con que era conocido don Antonio González Varela, dueño de estas tierras durante el siglo XVIII. La plaza fue un importante escenario durante las invasiones inglesas y desde allí don Santiago de Liniers intimó la rendición del general Guillermo Carr Beresford.
Fuente: CEDOM

El Choclo (tango)

Según cuenta Roberto Selles, este tango de Ángel Villoldo fue estrenado en el elegante restaurante “El Americano” en 1903, que estaba situado en Cangallo (hoy Juan Domingo Perón) 966. La orquesta que lo tocó por primera vez fue la de José Luis Roncallo que lo dio a conocer como “Danza Criolla” ya que el tango tenía mala fama en ese ambiente.
No se sabe cuándo fue compuesto aunque algunas versiones hablan del año 1898.
En relación al nombre, Irene Villoldo (hermana del compositor) le habría contado al cantor Juan Carlos Marambio Catán que Choclo “era el apelativo de un personaje malevo y fioca que había sentado sus reales en las inmediaciones de Junín y Lavalle y hacía referencia al color de sus cabellos”.
Villoldo le escribió dos letras pero ninguna de ellas apareció en la partitura editada en 1905.
En los años ’30 Marambio Catán le adaptó una letra más que fue entonada por Ángel Vargas.
En 1947 Enrique Santos Discépolo escribe las estrofas definitivas.
Con esta nueva letra fue estrenado por Libertad Lamarque en la película mexicana “Gran Casino” dirigida por Luis Buñuel.
Una de las versiones más reconocidas es la interpretada por Tita Merello.

fioca (voz en lunfardo): proxeneta
malevo: matón, peleador; habitante del arrabal.


Mi aplauso presidente..esto es tener huevos….

CARTA ABIERTA DE EVO MORALES AYMA, A PROPÓSITO DE LA “DIRECTIVA RETORNO” DE LA UNIÓN EUROPEA

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Ayer a las 4:53

Por Evo Morales Ayma

Hasta finales de la Segunda guerra mundial, Europa fue un continente de emigrantes.

Decenas de millones de Europeos partieron a las Américas para colonizar, escapar de

las hambrunas, las crisis financieras, las guerras o de los totalitarismos europeos y de

la persecución a minorías étnicas. Hoy, estoy siguiendo con preocupación el proceso

de la llamada “directiva retorno”. El texto, validado el pasado 5 de junio por los ministros

del Interior de los 27 países de la Unión Europea, tiene que ser votado el 18 de junio en

el Parlamento Europeo. Siento que endurece de manera drástica las condiciones de

detención y expulsión a los migrantes indocumentados, cualquiera sea su tiempo de

permanencia en los países europeos, su situación laboral, sus lazos familiares, su

voluntad y sus logros de integración.

A los países de América Latina y Norteamérica llegaron los europeos, masivamente,

sin visas ni condiciones impuestas por las autoridades. Fueron siempre bienvenidos,

Y. lo siguen siendo, en nuestros países del continente americano, que absorbieron

entonces la miseria económica europea y sus crisis políticas. Vinieron a nuestro

continente a explotar riquezas y a transferirlas a Europa, con un altísimo costo

para las poblaciones originales de América. Como en el caso de nuestro Cerro Rico

de Potosí y sus fabulosas minas de plata que permitieron dar masa monetaria al

continente europeo desde el siglo XVI hasta el XIX. Las personas, los bienes y

los derechos de los migrantes europeos siempre fueron respetados.

Hoy, la Unión Europea es el principal destino de los migrantes del mundo lo cual

es consecuencia de su positiva imagen de espacio de prosperidad y de libertades

públicas. La inmensa mayoría de los migrantes viene a la UE para contribuir a esta

prosperidad, no para aprovecharse de ella. Ocupan los empleos de obras públicas,

construcción, en los servicios a la persona y hospitales, que no pueden o no quieren

ocupar los europeos. Contribuyen al dinamismo demográfico del continente europeo,

a mantener la relación entre activos e inactivos que vuelve posible sus generosos

sistemas de seguridad social y dinamizan el mercado interno y la cohesión social.

Los migrantes ofrecen una solución a los problemas demográficos y financieros de la UE.

Para nosotros, nuestros migrantes representan la ayuda al desarrollo que los Europeos no

nos dan – ya que pocos países alcanzan realmente el mínimo objetivo del 0,7% de su PIB

en la ayuda al desarrollo. América Latina recibió, en 2006, 68.000 millones de dólares de

remesas, o sea más que el total de las inversiones extranjeras en nuestros países. A nivel

mundial alcanzan 300.000 millones de dólares, que superan a los 104.000 millones otorgados

por concepto de ayuda al desarrollo. Mi propio país, Bolivia, recibió mas del 10% del PIB en

remesas (1.100 millones de dólares) o un tercio de nuestras exportaciones anuales de gas

natural.

Es decir que los flujos de migración son benéficos tanto para los Europeos y de manera

marginal para nosotros del Tercer Mundo ya que también perdemos a contingentes que

suman millones de nuestra mano de obra calificada, en la que de una manera u otra

nuestros Estados, aunque pobres, han invertido recursos humanos y financieros.

Lamentablemente, el proyecto de “directiva retorno” complica terriblemente esta realidad.

Si concebimos que cada Estado o grupo de Estados puede definir sus políticas migratorias

en toda soberanía, no podemos aceptar que los derechos fundamentales de las personas

sean denegados a nuestros compatriotas y hermanos latinoamericanos. La “directiva retorno”

prevé la posibilidad de un encarcelamiento de los migrantes indocumentados hasta 18 meses

antes de su expulsión -o “alejamiento”, según el término de la directiva. ¡18 meses! ¡Sin juicio

ni justicia! Tal como esta hoy el proyecto de texto de la directiva viola claramente los artículos

2, 3, 5, 6, 7, 8 y 9 de la Declaración Universal de los Derechos Humanos de 1948. En particular

el artículo 13 de la Declaración reza:

“1. Toda persona tiene derecho a circular libremente y a elegir su residencia en el territorio

de un Estado.
2. Toda persona tiene derecho a salir de cualquier país, incluso del propio, y a regresar a su país”.

Y, lo peor de todo, existe la posibilidad de encarcelar a madres de familia y menores de edad, sin tomar en cuenta su situación familiar o escolar, en estos centros de internamientos donde sabemos ocurren depresiones, huelgas de hambre, suicidios. ¿Cómo podemos aceptar sin reaccionar que sean concentrados en campos compatriotas y hermanos latinoamericanos indocumentados, de los cuales la inmensa mayoría lleva años trabajando e integrándose? ¿De qué lado esta hoy el deber de ingerencia humanitaria? ¿Dónde está la “libertad de circular”, la protección contra encarcelamientos arbitrarios?

Paralelamente, la Unión Europea trata de convencer a la Comunidad Andina de Naciones (Bolivia, Colombia, Ecuador y Perú) de firmar un “Acuerdo de Asociación” que incluye en su tercer pilar un Tratado de Libre Comercio, de misma naturaleza y contenido que los que imponen los Estados Unidos. Estamos bajo intensa presión de la Comisión Europea para aceptar condiciones de profunda liberalización para el comercio, los servicios financieros, propiedad intelectual o nuestros servicios públicos. Además a título de la protección jurídica se nos presiona por el proceso de nacionalización del agua, el gas y telecomunicaciones realizados en el Día Mundial de los Trabajadores. Pregunto, en ese caso ¿dónde está la “seguridad jurídica” para nuestras mujeres, adolescentes, niños y trabajadores que buscan mejores horizontes en Europa?

Promover la libertad de circulación de mercancías y finanzas, mientras en frente vemos encarcelamiento sin juicio para nuestros hermanos que trataron de circular libremente. Eso es negar los fundamentos de la libertad y de los derechos democráticos.

Bajo estas condiciones, de aprobarse esta “directiva retorno”, estaríamos en la imposibilidad ética de profundizar las negociaciones con la Unión Europea, y nos reservamos del derecho de normar con los ciudadanos europeos las mismas obligaciones de visa que nos imponen a los Bolivianos desde el primero de abril de 2007, según el principio diplomático de reciprocidad. No lo hemos ejercido hasta ahora, justamente por esperar buenas señales de la UE.

El mundo, sus continentes, sus océanos y sus polos conocen importantes dificultades globales: el calentamiento global, la contaminación, la desaparición lenta pero segura de recursos energéticos y biodiversidad mientras aumenta el hambre y la pobreza en todos los países, fragilizando nuestras sociedades. Hacer de los migrantes, que sean documentados o no, los chivos expiatorios de estos problemas globales, no es ninguna solución. No corresponde a ninguna realidad. Los problemas de cohesión social que sufre Europa no son culpa de los migrantes, sino el resultado del modelo de desarrollo impuesto por el Norte, que destruye el planeta y desmiembra las sociedades de los hombres.

A nombre del pueblo de Bolivia, de todos mis hermanos del continente regiones del mundo como el Maghreb, Asia y los países de Africa, hago un llamado a la conciencia de los líderes y diputados europeos, de los pueblos, ciudadanos y activistas de Europa, para que no se apruebe e1 texto de la “directiva retorno”.

Tal cual la conocemos hoy, es una directiva de la vergüenza. Llamo también a la Unión Europea a elaborar, en los próximos meses, una política migratoria respetuosa de los derechos humanos, que permita mantener este dinamismo provechoso para ambos continentes y que repare de una vez por todas la tremenda deuda histórica, económica y ecológica que tienen los países de Europa con gran parte del Tercer Mundo, que cierre de una vez las venas todavía abiertas de América Latina. No pueden fallar hoy en sus “políticas de integración” como han fracasado con su supuesta “misión civilizatoria” del tiempo de las colonias.
Reciban todos ustedes, autoridades, europarlamentarios, compañeras y compañeros saludos fraternales desde Bolivia. Y en particular nuestra solidaridad a todos los “clandestinos”.

Evo Morales Ayma
Presidente de la República de Bolivia

Asociación “América Latina Publicaciones”
“El Chasqui de América Latina”
Ed. electrónica de contrainformación
Association loi 1901 – France


Deberiamos aprender….

MANUEL BELGRANO.

Por Alfredo Leuco

Si me permite, Don Manuel, me gustaria decirle que usted es el espejo en el que todos los politicos argentinos deberian mirarse. Porque usted hizo el camino inverso de tantos politicos corruptos. La mayoria llega pobre a la funcion publica y sale rico.
La mayoria se enriquece ilicitamente.
Su biografia demuestra que usted hizo todo lo contrario.
Nacio rico.
Nacio en cuna de oro porque su padre era un importante comerciante. Por eso pudo acceder a la educacion a la que accedio.Por eso Salamanca, Valladolid.
Pero se paso la vida repartiendo su fortuna entre la gente comun. Y murio pobre.
Se empobrecio licitamente. Se convirtio en una bandera de austeridad republicana.
Usted, justo usted, que es el creador de la bandera convirtio su trayectoria en una bandera y su cuerpo en el abanderado de los mejores valores que debe tener un hombre publico que esta obligado a servir a su comunidad.
Por eso creo que a 200 años del nacimiento de la patria llego la hora de pedirle perdon.
Mil disculpas, Manuel Belgrano. Ojala nos perdone. Y si me permite, como una manera de desagravio, me gustaria decirle gracias por todo lo que hizo por nosotros.
En este Bicentenario le decimos gracias por haber protegido siempre a los mas desprotegidos, a los mas humildes, a los ancianos, a las mujeres y a los indios.
Por haber impulsado siempre el progreso y el bienestar de la gente.

Por darle a la tierra el caracter de generadora de riquezas y haber inventado el impuesto a las tierras improductivas.

Progresismo puro.
Gracias por grabarnos a fuego en nuestra identidad esa frase maravillosa que dice que:
“el sentimiento de libertad es capaz de transformar en heroes a los ciudadanos mas simples”.

Gracias por su combate permanente contra los monopolios y todo tipo de autoritarismo.
Por haber sido miembro del primer gobierno patrio.

Por defender la libertad de prensa y la modernizacion.

Por haber traido de Europa las ideas mas avanzadas de soberania y emancipacion y las tres vigas maestras de la revolucion francesa:

“libertad, igualdad y fraternidad”.

Gracias por la inmensidad de su cultura.
Por hablar y leer perfectamente en ingles, frances, italiano y latin. Gracias por haber redactado junto a Mariano Moreno el Plan Revolucionario que se presento a la Junta.

Gracias por decir que la patria es educacion.

Por haber donado sus sueldos para construir la biblioteca publica y varias escuelas
(que se construyeron 170 años despues).

Gracias por el coraje de haber combatido en las invasiones inglesas y por convertirse en general de la Nacion cuando su formacion era de abogado, economista, diplomatico y periodista. Pese a todo no dudo en tomar las armas y las estrategias militares para defender esta bendita tierra.
Gracias por haberle salvado la vida a la esposa y a la hija del general San Martin.
Ojala alguna vez nos perdone que lo hayamos dejado morir en la mas terrible de las miserias.

Vencido por las enfermedades y con el unico tesoro de su reloj personal para recompensar al medico que lo asistio hasta el final.

Le confieso que me produjo un desgarro en el alma cuando leo que su cuerpo estuvo ocho dias sin poder ser sepultado por falta de dinero.
Siento verguenza historica retroactiva.
Por eso perdon y gracias, don Manuel Belgrano.
Gracias por la escarapela y por la bandera.
Y sobre todo gracias por enseñarnos con la enseña que Belgrano nos lego que :

“la lucha por una patria mas justa es la verdadera bandera idolatrada”.


mmmmmm………..

La Balada del Boludo

BALADA DEL BOLUDO
Isidoro Blastein

Por mirar el otoño Perdía el tren del verano
Usaba el corazón en la corbata
Se subia a una nube,
Cuando todos bajaban.
Su madre le decía: No mires las estrellas para abajo
No mires la lluvia desde arriba
No camines las calles con la cara,
No ensucies la camisa;
No lleves tu corazón bajo la lluvia,que se moja
No des la espalda al llanto
No vayas vestido de ventana
No compres ningún tílburi en desuso.

Mirá tu primo el recto
Que duerme por las noches.
Mirá tu primo el justo
Que almuerza y se sonrie.
Mirá tu primo el probo
Puso un banco en el cielo,
Tu cuñado el astuto
Que ahora alquila la lluvia
Tu otro primo el sagaz
Que es gerente en la luna.

-Tienes razón ,mamá- dijo el boludo.
Y se bebió una rosa.
-No seré más boludo
Y se bajó del viento
-Seré astuto y zahorí.
Y dio vuelta una estrella para abajo.
Y se metió en el subte
Y quedaron las gaviotas.
Entonces vinieron los parientes ricos
Y le dijeron:
-Eres pobre,pero ningún boludo.
Y el boludo fue ningún boludo,
Y quemaba en las plazas
Las hojas que molestan en otoño
Y llegó fin de mes Cobró su primer sueldo
Y se compró cinco minutos de boludo
Entonces vinieron las fuerzas vivas
Y le dijeron:
-¡¡¡Has vuelto a ser boludo!!!
-Boludo -seguirás siendo el mismo boludo de siempre
-Debes dejar de ser boludo -Boludo
Y,medio boludo, con esos cinco minutos de boludo
dudaba entre ser ningún boludo o seguir siendo
boludo para siempre.
Dudaba como un boludo.
Y subió las escaleras para abajo
Hizo un hoyo en la tierra
Miraba las estrellas.
La gente le pisaba la cabeza
Le gritaba ,boludo.
Y él seguía mirando
A través de los zapatos
Como un boludo.
Entonces Vino un alegre y le dijo:boludo alegre.
Vino un pobre y le dijo: Pobre boludo.
Vino un triste y le dijo: Triste boludo.
Vino un pastor protestante y le dijo: Reverendo boludo.
Vino un cura catolico y le dijo: Sacrosanto boludo.
Vino un rabino judío y le dijo: Judío boludo.
Vino su madre y le dijo: Hijo,no seas boludo.
Vino una mujer de ojos azules y le dijo:

Te quiero.


YO ESTUVE AHÍ

Voy a empezar aclarando que se que un blog debe ser ágil, dinámico, escueto, corto, inmediato, y como consecuencia casi líquido.
Yo creo que toda comunicación tiene que ser responsable, reflexiva, sólida para que perdure y se amplíe y quiénes participan de ella crezcan en el debate (¡cómo me gustaría que alguno se prendiera en ello!). No quiere decir esto que debe ser aburrida o pesada y por adelantado pido disculpas si no logro entretenerlos un poco pero eso será seguramente por la falta de gran simpatía que pueda encerrar mi carácter.

Y ACÁ VOY……..

Habiendo pasado unos días de los festejos por el Bicentenario, la emoción continúa, pero necesitaba el tiempo para la reflexión.
Fui uno de los 8 millones que transitaron por lo que se llamó el “Paseo del Bicentenario”, pero también por nuestra Plaza de Mayo y las calles y avenidas entre Callao y la Plaza y entre Corrientes e Independencia también estaban llenas de gente trasladándose de un lugar a otro para vivir esta fiesta.
Me sentí como un granito insignificante y a la vez importante.

…..la arena es un puñadito
Pero hay montañas de arena.
(Atahualpa Yupanqui – El payador perseguido)

Es difícil transmitir lo que se siente que tantas voces juntas canten el Himno o la Marcha de San Lorenzo, pero también el Feliz Cumpleaños que era como cantarlo unos para otros o para sí mismos. Nos estábamos festejando. Era nuestro cumpleaños.

Y además sentir que se coreaban partes de las canciones que Los Olimareños entonaron como “Milonga del fusilado” y “Gallo negro, gallo rojo”.
Por supuesto que también cantamos con Soledad Pastorutti y Fito Páez y Susana Rinaldi y los demás artistas. Pero destaco estos dos temas por lo que significan y porque hacía mucho que no los escuchaba. Era gente muy joven las que las coreaba y, coincido con Eduardo Aliverti, yo también seré setentista melanco pero algo volvió.

Estuve 4 días sólo perdí el 1°) y siempre fue el mismo clima: PARTICIPAR .
Y si bien es cierto que se pueden hacer varias lecturas, me quedo con las siguientes:

– La participación fue feliz pero de ninguna manera ingenua e inocua. Hubo distintos pensamientos y hasta cambio de opiniones y discusiones políticas (fui testigo de algunas) pero en el sentido de intercambio de opiniones y reflexiones y no de peleas.
– Nada cambia por algunos días de fiesta…o sí. Creo que para muchos fue un punto de inflexión para repensar ideas, visiones, posicionamientos.
– Quién alguna vez haya organizado una reunión para más de 10 personas sabrá del esfuerzo y trabajo que significó organizar estos festejos donde participaron varios miles de artistas e imagino la emoción de ellos ante esa magnitud de público vivándolos y participando (tuvimos la posibilidad con Ernesto de actuar frente a 200.000 personas –el 10 % – y eso habilita mi suposición). Me saco el sombrero ante todos quienes de una u otra forma participaron en esta organización.
– Los desfiles, y sobre todo el cierre realizado por Fuerza Bruta, fueron impactantes (me perdí lo que sucedió con las proyecciones y actos en Plaza de Mayo y el Colón – no se puede estar en todas) pero voy a rescatar el hilo conductor de todos ellos que a mi juicio fue el acertado:

(i) Se conmemoró, se honró y se festejó a la gente de ayer y de hoy.
(ii) Se revalorizaron los pueblos originarios, los inmigrantes europeos pero también los de otras partes del mundo, principalmente los latinoamericanos.
(iii) Se retomó la visión de unidad latinoamericana.
(iv) Se visibilizó la integración no sólo de nacionalidades sino de religiones distintas y de manifestaciones de género como la inclusión del grupo que representó a los homosexuales justamente en el llamado “Desfile de la integración”. Pero también porque pudieron participar de los festejos los que nunca lo hacen como es la gente que está en situación de calle y también ellos fueron visualizados obviamente por los que quieren ver.
(v) Los pasajes históricos elegidos nos hablaron de la participación y acción del pueblo, del sacrificio y dolor de esa participación pero también de la memoria, esperanza, la creatividad y la alegría. Creo que todo revolucionario y progresista en serio es optimista, alegre, canta, baila y es felizmente responsable de las decisiones y actos que asume.
(vi) Saludo todas las escenas pero me voy a quedar con una que no recibió mayores comentarios: la penúltima; el aula, los niños; la generación que dará vida a los abuelos de la generación del tricentenario (me adelanté mucho…no lo creo). Las referencias de los medios hablaban de un globo pero yo vi un huevo como el que da vida a los animales y humanos (algunos son huevos externos como el de las gallinas y otros internos como el huevo o cigota humano) y dentro de él, junto a los niños, maestros e investigadores en sus tareas, una frase que se encendía y apagaba constantemente y que la mayoría vio, leyó y aplaudió:

“FUIMOS CAPACES, SOMOS CAPACES”

Se que estos son sólo gestos y hay que pasar a los hechos, tarea que nos corresponde a todos desde el rol que cada uno desempeña.
Parafraseando algo que alguna vez leí y quedo en deuda con el autor porque no se quién es:
“Cuida tus pensamientos porque se transforman en gestos;
Cuida tus gestos porque se transforman en palabras;
Cuida tus palabras porque se transforman en actos;
Cuida tus actos porque se transforman en costumbres;
Cuida tus costumbres porque se transforman en pensamientos e ideología”
Se cierra el círculo.

Esto lo escribo a título personal; se que Ernesto coincide con algunas cosas pero será él quién manifieste su coincidencia y la magnitud de la misma.

Por el momento a seguir festejando los 200 años merecidos que cumplimos mirando el vaso lleno que tenemos en las manos y no los vacíos en la pileta.

¡SALUD!

p.d.: Vale la pena leer “El día de la escarapela” – Eduardo Aliverti – Página 12 – 31/5/2010
Nota del semiólogo Raúl Barrientos – Página 12 – 27 ó 26/5/2010
Nota y dichos de Fito Páez.

Give me time to translate these words into English
Datemi il tempo di tradurre queste parole in italiano
Donnez- moi le temps de traduire ces mots en Franchise
Gib mir Zeit, um diese Worte zu übersetzen Faleme


Que bueno..!!!!!!!

POEMA DEL BICENTENARIO
Por Rubén A. Fiorentino

Dos gambas de años deschava, la patria de San Martín
y por puro berretín de piropearla verseaba.
Cuando Mayo se moría, este yeite comenzaba
y desde allí se junaba que para lunga seguía.
Relojeando que el monarca, estaba en cana en Europa,
prendieron cinta en la ropa, gorutas de esta comarca.
Unos dicen que llovía, otros baten que chispeaba
pero nadie se movía sin saber que se trataba.
Los puntos que allí tallaron lo fletaron al virrey,
sin jabón a estar “orsei”, por la junta se jugaron.
La cosa es que aquellos ñatos la tuvieron que agrandar
no es que fueran colifatos sino afán de mejorar.
Luego el gobierno finó, ya remendado y jovato,
lo sucedió un Triunvirato y otro nuevo que llegó.
Después los cráneos de entonces, con esperanza y valor
a un Supremo Director escracharon para el bronce
Heredaron a virreyes, caudillos y dictadores,
antiguos gobernadores, Restaurador de las Leyes…
Unitarios, federales, en dos bandos separó
la bronca pronto se armó entre los taitas rivales.
Hasta que un día prudente, junenmé con atención,
tuvimos Constitución y el trompa fue el presidente.
El tango, la inmigración, serenata en la ventana
y la trágica semana que pone al cuore un crespón
Siguió la década infame, que el dos por cuatro resalta
al mundo un tornillo falta y así Cadícamo clame.
Con la justicia social, el checo justicialista
y el envión progresista de un nuevo Plan Quinquenal.
Luego el Pocho que cayó, cuanta malaria y tormento
y aquel cruel fusilamiento palma a Valle que se alzó
Fule tiempo los setenta, la violencia entra en acción
y la brutal represión nos cobra vidas a cuenta.
Con los del parche en el ojo, siguió el candombe después
con resultado al revés afirmaron su despojo.
Penas y gloria vivió, el piantarse de los años,
son testigos los estaños, cuando Carlitos crepó.
Cuando el chueco de Balcarce, en la tierra de los gringos
demostró que buenos pingos van para allá a coronarse.
Pascualito se apuntó como un buen gallo de riña
encajando tanta piña que hasta Firpo impresionó.
Zabala brilló rajando, con la paleta Quinquela,
Pedro Palacios la escuela y Maradona jugando.
Con el fueye rezongando, Pichuco trae La Bordona
en tanto Atahualpa entona y el ciego sigue pitando.
Vilas le da a la raqueta, Demiddi vuela en su bote
El “Manu” pianta rebote, Nicolau en la pileta.
Desde el valle al Aconcagua, aplauden a Alippi y Muiño,
Tita al Hugo le hace un guiño, mientras turbia baja el agua
Con el Luna y el Colón, Bombonera y Obelisco,
Leguisamo cruza el disco, en Octubre San Perón.
Chamuyando mi sentir y para finar la historia
juraré vivir con gloria o con ella he de morir.


Si te viera Garay….el te funda otra vez…gracias Eladia

 

Si te viera Garay
Eladia Blazquez

Te pueblan tantos ecos y tantos sones,
que cuesta imaginarse tu voz primera…
Una cadencia “tana” con acordeones
y la raíz hispana de la habanera.
Quien te fundó, sabía que en la mixtura
acaso encontrarías por elegida,
ese crisol de razas y la ternura
que nutriría luego, tu propia vida.

¡Ay!… Si te viera Garay
Si te ve…
Lo bonita que estás,
de orgulloso nomás,
él te funda otra vez.

Quién inventó tu puerto… ¡Qué bien lo hizo!…
Con sus ojos abiertos, mirando al mundo
fueron las aguas tuyas como el bautizo,
para aquellos que anclaban en tu terruño.
En las crecidas rosas de tu progreso
hay un poco de sangre de mis abuelos
que llegaron soñando con el regreso
y eligieron morirse bajo tu suelo.

Eladia..vos como la negra….fueron parte de este Bicentenario
a tu salud, a la salud de la negra….brindo ..con y por tu poesia y por el canto
Negra siempre estas…Mama grande siempre estas…


A pesar de Ustedes Tinellis-Legranes-Jimenez…mañana sera otro dia

Grande Chico…..tus palabras dan coraje…dan solidaridad….dan futuro

A pesar de usted

(Chico Buarque)

Que mañana será otro día…

Hoy es usted el que manda,
lo dijo, está dicho,
es sin discusión, ¿no?

Toda mi gente hoy anda
hablando bajito
mirando en el rincón, ¿vio?

Usted que inventó ese estado
e inventó el inventar
toda la oscuridad.

Usted que inventó el pecado
olvidose de inventar
el perdón.

A pesar de usted
mañana ha de ser
otro día.

Yo quisiera saber
dónde se va a esconder
de esa enorme alegría.

Cómo le va prohibir
a ese gallo insistir
en cantar.

Agua nueva brotando
y la gente amándose
sin parar.

Cuando llegue ese momento
todo el sufrimiento
cobraré seguro, juro.

Todo ese amor reprimido,
ese grito mordido,
este samba en lo oscuro.

Usted que inventó la tristeza
tenga hoy la fineza
de desinventar.

Usted va a pagar
y bien pagada
cada lágrima brotada
desde mi penar.

Daría tanto por ver
el jardín florecer
como usted no quería.

Cuánto se va a amargar
viendo al día rayar
sin pedirle licencia.

Cómo voy a reír
que el día ha de venir
antes de lo que usted piensa.

Tendrá entonces que ver
al día renacer
derramando poesía.

Cómo se va a explicar
ver al cielo clarear
de repente, impunemente.

Cómo va a silenciar
nuestro coro al cantarle
bien de frente.


acompañando a mis hermanos….

Argentina: Marcha de los Pueblos Originarios llegó a

la Plaza de Mayo

Con el colorido de su bandera, marchan los pueblos originarios. (Télam)
VER GALERIA
Con el colorido de su bandera, marchan los pueblos originarios. (Télam)
33588-marcha-de-pueblos-originarios.html 33588-marcha-de-pueblos-originarios.htmlEn reclamo de “díalogo político” sobre sus territorios en conflicto,unos 30

movimientos

llegaron a Plaza de Mayo. Cuatro columnas salieron hace 8 días desde

distintos puntos del país.

Más temprano, la CCC bloqueó durante dos horas General Paz y

Provincias Unidas.

Miles de personas que representan a las comunidades aborígenes

llegaron a la Plaza de Mayo

para dar a conocer sus reclamos y marcar su presencia en la celebración

por el Bicentenario.

Vestidos con gorros de lana típicos de la región del altiplano,

bufandas, sombreros, ponchos

multicolores, banderas identificatorias de cada comunidad,

llegaron a Plaza de Mayo

representantes de las comunidades wichi, toba, mapuche,

huarpe, guaraní y ava guaraní,

entre otros.

Numerosas personas saludaron con aplausos el paso de la marcha

de los indígenas que,

bajo el estruendo de petardos, reiteraron su consigna de pertenencia

de la tierra en la que

viven.
En un escenario montado al lado de la Pirámide de Mayo, donde

una bandera reclama

“una Argentina pluricultural”, los manifestantes leerán un

documento y luego hablará

un representante de cada etnia.

Los aborígenes salieron la semana pasada desde sus provincias

de origen rumbo a la

ciudad de Buenos Aires, donde llegaron pasado el mediodía de

hoy provenientes de la localidad

bonaerense de Zárate, en el norte provincial, donde confluyeron

las columnas.

Las columnas, que partieron desde algunos lugares hace 8 días,

están compuestas por

habitantes de las provincias de Mendoza, Chaco, Neuquén o

Formosa.

El tránsito en toda la zona está afectado por este movimiento, y

también la autopista

Illia donde 70 micros que transportaban a los manifestantes

están cruzados en la mano

hacia el centro, impidiendo la circulación de vehículos.

A las 20:30, en el Salón Mujeres de Casa Rosada,

Cristina Fernández recibirá a los

dirigentes de las comunidades indígenas.

ANTERIORMENTE
El reclamo de la agrupación Barrios de Pie se produjo por

los planes en la avenida

General Paz, a la altura de Provincias Unidas, mano

hacia el Riachuelo en la entrada

al partido de La Matanza, duró dos horas.

Por su parte, el líder de la Corriente Clasista y Combativa,

Juan Carlos Alderete dijo a

Radio 10 que “no queremos cortar la ruta”.

Lo que pasa es que en nuestras familias lo necesitan.

Entramos en un estado desesperación“,

esgrimió como argumento.

Este viernes el Movimiento Barrios de Pie anunció que

realizará un acampe frente al

Ministerio de Desarrollo, también en reclamo de planes

de empleo del programa oficial.
La agrupación encabezará una movilización hacia la

sede que encabeza la ministra

Alicia Kirchner sobre la 9 de Julio y Belgrano, y allí

montará un acampe, en el mismo

lugar donde comienzan los stands del “Paseo del Bicentenario“.

Sería por tiempo indeterminado.

Fuente: http://www.diarioshow.com/notas/2010/05/20/33588-marcha-de-pueblos-originarios.html